La Bourse de Paris pointe en hausse avant la décision monétaire de la Banque centrale américaine sur ses taux. Un troisième tour de vis étant désormais acquis, le marché sera attentif à la moindre allusion sur une quatrième hausse des taux et surtout aux commentaires de Jerome Powell sur d’éventuelles conséquences de la guerre commerciale sur l'économie de la première puissance mondiale.
Deutsche Bank n'a pas envie de se marier. La banque allemande est une nouvelle fois montée au créneau pour démonter les spéculations de fusion avec son concurrent allemand Commerzbank ou du suisse UBS.
SURPRISE !Les cours du pétrole affichent une baisse contenue après les stocks américains. Contre toute attente, les stocks hebdomadaires de brut s’affichent en hausse de 1,9 million de barils, là où le consensus tablait sur une baisse de 1,3 million de barils. Le WTI cède 0,3% à 71,72 dollars tandis que le Brent recule de 0,15% à 81,2 dollars.
COUP DE POMPELà on ne parle plus d'or noir mais de Nike qui est orienté à la baisse, le marché montrant son insatisfaction après le maintien des prévisions annuelles du fabricant d'articles de sport. Nike garde sa projection d'un chiffre d'affaires annuel dans le bas d'une fourchette à un chiffre en raison de la poussée du billet vert.
LE RIAL AU TAPISLa descente aux enfers continue pour le rial iranien. La devise de la République islamique a touché un nouveau plancher face au billet vert. En cause, le retrait américain de l'accord international sur le nucléaire iranien. Le rial iranien risque de connaître des heures difficiles alors que le pays est sous la menace de nouvelles sanctions américaines, notamment à l'encontre des importations d'or noir iranien.