Après 4 séances de hausse consécutive, le marché Parisien marque une pause pour reprendre son souffle. Le CAC 40 parvient tout de même à clôturer en territoire positif, en hausse symbolique de 0,09%, à 4335 points. Signe que la tendance reste ferme, l’euro se raffermit face au dollar, tandis que Wall Street reste orienté en légère hausse. Les indices S&P500 et Dow Jones continuent de tutoyer leurs sommets historiques, alors que le Nasdaq s'affiche très proche des "pics" de l'été 2015 au-dessus des 5000 points.
MAUVAISE SURPRISE
Du coté de la production industrielle en zone euro qui a nettement reculé en mai, en raison surtout de la chute de la production d'énergie. Au mois de mai, la production a fléchi de 1,2% d'un mois sur l'autre. Sur un an, elle a augmenté de 0,5% par rapport à mai 2015. Une baisse largement supérieure aux attentes, le consensus tablant sur une baisse de 0,8% en mai et une hausse de 1,4% en glissement annuel.
LA CHINE TOUSSE
Les exportations chinoises se sont contractées plus que prévu le mois dernier, de 4,8%, en raison d'une demande mondiale qui ne décolle pas. Les importations ont quant à elles chuté de 8,4% le mois dernier, à cause notamment de la décision prise par les Britanniques de quitter l'Union européenne (UE). Conséquence, l'excédent commercial de la Chine se réduit à 48,11 milliards de dollars.
TOLLÉ GÉNÉRAL OU SIMULACRE?
La France a demandé à l'ancien président de la Commission européenne José Manuel Barroso de renoncer à rejoindre la banque d'affaires américaine Goldman Sachs. Cette embauche est "particulièrement scandaleuse, compte tenu notamment du rôle joué par cette banque dans la crise financière de 2008 mais aussi du trucage des comptes publics de la Grèce", a dit Harlem Désir, le secrétaire d'Etat français aux Affaires européennes
IMPÔTS SUITE
Seulement 45,6 % des ménages ont payé l'impôt sur le revenu en 2015. Ainsi depuis la crise de 2009, vous n'avez jamais été aussi peu à payer des impôts. Et ce soir, Challenges entre un peu plus dans le détail ; Avec 10% des foyers qui paient 70% de l'impôt sur le revenu, le constat est implacable : L'essentiel de l'impôt sur le revenu repose aujourd'hui sur les classes aisées.