Le CAC 40 reprend du terrain à 4810.60 points ( +0.59 %) dynamisé par Wall Street à partir de 15h. Outre Atlantique, le Dow Jones progresse de 0.53 % à 24193 points et le Nasdaq prend 0,43% emporté par « les résultats du secteur bancaire meilleurs qu'anticipé ». Seule le FOOTSIE perd 0.41 % à 6865.51 points suite à la cacophonie concernant le vote du Brexit
En première partie de journée 3 piliers du secteur bancaire européen, BNP Paribas, Société Générale et Axa étaient dans le palmarès des plus fortes hausses du CAC 40 suite à des rumeurs de concentration du secteur bancaire . Peu avant 15h, elles ont plus que doublé leurs gains poussées par Goldman Sachs (+3%) et Bank of America (+4%) qui ont dévoilé de bons résultats trimestriels.Bank of America bat le consensus en terme de bénéfice par action. Les analyste tablaient sur un 0.63 $ par action face à 0.70 $ publié. De son côté Goldman Sachs a annoncé 6,04$ par action contre 4,5$ anticipé par les analystes.
MAYDAY MAYDAYL’incapacité de Theresa May à faire passer son texte sur le Brexit à la chambre des Communes a clairement impacté la place boursière du Royaume-Uni qui a ouvert sur les plus bas historiques hebdomadaires à 6850 points. Finalement, l'indice anglais perd 0.41 % à 6865.51 points. D’un autre coté, l’échec n’a pas entamé la résilience de la livre sterling, qui reste au-dessus de 1,28 dollar.
VERS UNE DIMINUTION DES STOCKS DE PÉTROLE AMÉRICAINS ?Les stocks américains de pétrole brut ont diminué bien plus que prévu la semaine dernière, a annoncé mercredi l'Agence américaine d'information sur l'énergie (EIA).Les stocks de brut ont diminué de 2,68 millions de barils à 437,06 millions soit 2 fois plus que la diminution anticipée.
A l’inverse les stocks d'essence et le fioul domestique ont eux augmenté bien plus qu'attendu, 2 fois plus qu’anticipé.
Pourtant les cours du brut n'ont guère varié en réaction à cette statistique.
STATS EN VRAC AUX USL'indice NAHB de la confiance des constructeurs immobiliers s'élève à 58 en janvier, ressortant au-dessus du consensus Briefing de 56. En décembre, celui-ci s'élevait à 56.
Les prix à l'importation ont baissé de 1,0% le mois dernier après un recul de 1,9% révisé en novembre, selon le département du Travail. Les économistes interrogés par Reuters anticipaient une baisse de 1,3% après un tassement de 1,6% en première estimation en novembre. Sur 12 mois à fin décembre, la baisse des prix à l'importation est de 0,6%, la plus forte depuis septembre 2016. C'est également leur première baisse annuelle depuis octobre 2016, faisant suite à une hausse de 0,5% en novembre.
Sur l'ensemble de 2018, les prix à l'importation ont fléchi de 0,6%, leur premier recul calendaire depuis 2015, après une hausse de 3,2% en 2017.