La Bourse de Paris accuse le coup en cette fin de semaine mais parvient à sauver les 5.100 points. Et c'est Donald Trump qui dicte la tendance sur les marchés. Les marchés doutent de la capacité du président américain à mettre en œuvre ses réformes économiques notamment sur fond de rumeurs de démission de Gary Cohn. Un départ du conseiller économique de la Maison Blanche menacerait la grande réforme fiscale promise par Donald Trump. Outre les doutes entourant Donald Trump, les marchés européens ont été pression après les deux attaques terroristes en Espagne...
Twitter aurait beaucoup à perdre si Donald Trump décidait de clôturer son compte. Le réseau social favori du président américain pourrait en effet perdre environ 2 milliards de dollars de capitalisation boursière, selon une analyse du cabinet Monness Crespi Hardt & Co. Donald Trump est massivement suivi sur Twitter avec 36,2 millions d'abonnés et chaque invective est retweetée et commentée plusieurs dizaines de milliers de fois. "Il n'y a pas de meilleure publicité gratuite dans le monde que le président des États-Unis", précise l'analyste.
REÇU AVEC MENTIONL'indice de l'Université du Michigan est ressorti au plus haut depuis janvier. L'indicateur qui mesure le moral des ménages américains s'est inscrit à 97,6 pour le mois d'août contre 94 de consensus et après 93,4 en juillet.
GROS COUP DE POMPEFoot Locker se prend un tacle bien appuyé pour reprendre une métaphore propre au football. L'enseigne d'équipements sportifs chute de plus de 25% à Wall Street après la publication d'un second trimestre terne. Le chiffre d'affaires tout comme les profits n'ont pas suivi la cadence en raison de ventes décevantes de certains produits à forte marge. Foot Locker emporte dans sa chute les titres Nike et Adidas.