Jeudi 16 novembre

MonFinancier balaye les idées reçus concernant l'un des placements préférés des Français, l’immobilier, avec un préjugé courant chez les épargnants : Il faut attendre d'acheter sa résidence principale pour faire de l'investissement locatif. Ce qui est faux bien entendu…

MonFinancier balaye les idées reçus concernant l'un des placements préférés des Français, l’immobilier, avec un préjugé courant chez les épargnants : Il faut attendre d'acheter sa résidence principale pour faire de l'investissement locatif. Ce qui est faux bien entendu…

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Idée reçue : Il faut attendre d'acheter sa résidence principale pour faire de l'investissement locatif. FAUX !

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En matière d’immobilier, la dimension affective est prépondérante. Ce n’est pas un hasard si tout au long de votre vie, on vous a répété que le meilleur moyen de se protéger contre les aléas de la vie était d’avoir un toit sur la tête. Mais en 30 ans, les prix ont littéralement flambé, notamment dans les grandes métropoles françaises. Cela signifie qu’il faut emprunter sur 20, 25 voire 30 ans pour pouvoir acheter un bien immobilier. Et sur cette période, il peut se passer beaucoup de choses. Des événements heureux, comme une famille qui s’agrandit, des besoins et des envies qui évoluent, mais aussi des ruptures, comme une mutation professionnelle, un licenciement, ou même une séparation.

Rester locataire, c’est justement faire le choix de la liberté, la liberté de déménager, la liberté de modifier ses projets en fonction de ses envies. Rester locataire, c’est aussi la liberté de se constituer son épargne à sa manière (sur les marchés financiers, contrat d’assurance vie) Pourquoi ? Parce que rester locataire permet d’économiser facilement 200 à 300 euros de plus par rapport à un logement de surface équivalente que vous auriez acheté. Avec cette somme en plus, on peut faire beaucoup de choses, comme les réinvestir dans l'immobilier locatif, en vue de se constituer un patrimoine.

Et qui dit immobilier locatif en direct, dit recherche de locataire, gestion des biens, etc. Ce qui n'est pas forcement une partie de plaisir si le temps vous manque... Alors les SCPI sont le véhicule idéal pour être investi dans l'immobilier sans s'encombrer d'un immeuble et ce avec une mise de départ raisonnable.

Étant un véhicule immobilier avant tout, il est également possible d’investir en SCPI via un crédit immobilier. Concrètement, une SCPI qui rapporte 4.5%* en moyenne par an va permettre de financer en partie l'emprunt : C'est l'effet de levier du crédit. Et c'est particulièrement attractif avec les taux historiquement bas.

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Reprise économique, politique des banques centrales, pression sur les marges des banques, les motifs ne manquent pas pour que la tendance sur les taux s'inverse dans les prochains mois. Mais après avoir légèrement augmenté fin 2016 et début 2017, les taux ont à nouveau diminué et se situent aujourd'hui au niveau de l'été 2016

C’est peut-être une des dernière occasion d’emprunter dans des conditions exceptionnellement favorables. Alors ne tardez plus à vous lancer dans une SCPI à crédit. Il est en effet est préférable d’investir dans les placements présentant le couple/rendement risque le meilleur du moment, plutôt que de chercher à être propriétaire à tout prix. Et sûrement le plus fort... Et surement le plus

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*Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme (minimum 10 ans) et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps. Comme tout investissement, l'immobilier présente des risques :


- La baisse de la valeur du placement. Le capital investi dans une SCPI n’est pas garanti. La valeur de part d'une SCPI évolue dans le temps, en relation étroite avec l’état de la conjoncture de l'immobilier d'entreprise. Cette conjoncture suit des cycles successifs, avec des phases à la hausse et à la baisse.


- La diminution des revenus locatifs. Dans un contexte économique moins favorable, la baisse des revenus locatifs versés aux associés est due à la diminution du taux d’occupation financier et/ou à la baisse du montant global des loyers versés par les locataires. Cette baisse peut être toutefois atténuée par l’effet de la mutualisation des risques grâce à la diversification immobilière et locative du portefeuille de la SCPI.


- La liquidité. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers. Les conditions de cession (délais, prix) peuvent ainsi varier en fonction de l’évolution du marché de l’immobilier d'entreprise et du marché des parts de SCPI.

Communication non contractuelle à caractère publicitaire.

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