En ce début d'année, c'est l'heure de faire le bilan 2014 de nos positions. Une très bonne année pour nos conseils actions-gestion active tandis que les conseils père de famille connaissent des débuts en douceur et que les conseils sur produits dérivés ont connu une année difficile.
Conseil père de famille
Lancée en 2014, la rubrique conseil père de famille n'a pas tout à fait un an. Comme il s'agit de conseil à horizon un an, il est un peu tôt pour tirer des conclusion de ce bilan mais on vous le fournit quand même à titre d'information.
Il n'y a pas vraiment d'élément de comparaison pour cette performance. On pourrait dire que le CAC a connu une année négative (hors dividende), mais ce n'est pas une bonne référence puisque ¾ des positions prises l'ont été au deuxième trimestre alors que le CAC a connu un bien plus mauvais deux trimestre (-4%). Au final, tout ce qu'on peut dire c'est que notre portefeuille Père de famille connaît globalement des débuts en douceur.
Conseil actions gestion active
A l'image de l'année 2013, nos conseils en actions destinés aux profils « gestion active » ont très bien performé. En effet, sur les 80 positions soldées sur l'année, 51 l'ont été en plus value. Soit « un taux de réussite » de 64 %. La performance moyenne ressort quant à elle à 3,28 % pour une durée moyenne de détention de 110 jours, ce qui fait un rendement annuel de 10,7 %
A quoi faut il comparer cette performance ? Le CAC 40 a connu une performance négative en 2014, mais il vaut mieux comparer nos performances à l'indice CAC 40 dividende réinvesti, qui lui a connu une performance annuelle de 3,2 %. Notre performance ressort à un taux de 3,28 % sur 110 jours, ce qui fait un rendement annuel de 10,7 %
Sur deux ans, notre performance ressort à 54 % tandis que le CAC a offert une performance de 27 %
Conseil produits dérivés
A l'inverse, la performance de nos conseils sur produits dérivés a été décevante. Certes, sur les 121 positions clôturées en 2014, 79 l'ont été avec un gain, soit « un taux de réussite » de 65 %. Mais le bilan est mauvais avec une perte moyenne de 7 %, qui s'explique par plusieurs désactivations et donc pertes lourdes.