Vous dites : tant que Peugeot restera une entreprise familiale, elle ne décollera pas.
Moi, ce que j'observe, c'est que l'entreprise Renault a été recapitalisée par l'état qui a épongé ses dettes à répétition. Général Motors avait la taille requise, ce qui ne l'a pas empêchée de faire faillite et de ruiner ses petits porteurs. British Leyland était un groupe important, mais il a disparu.
Je ne crois moins à la taille qu'à la gestion. C'est vrai que plus on est grand, plus on a de moyens et plus on peut gaspiller, s'imposer et corrompre, mais j'aimerais que les entreprises soient aussi bien gérées que Peugeot l'a été et le reste.
Et je dis : vive Hermes ! Et pendant que j'y suis : Vive Fiorentino !
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