Sur l'immobilier les études et les prévisions se suivent et ne se ressemblent pas. En France comme dans le reste du monde. Les alertes à la bulle se succèdent, dans certains pays, et dans certaines villes en particulier, mais les situations sont extrêmement contrastées entre les pays et au sein même d'un pays. On essaie d'y voir un peu plus clair...
Il y a une certaine similitude entre les marchés financiers et les marchés immobiliers.
Ils bénéficient largement des largesses des banques centrales et les valorisations sont globalement assez élevées mais ça ne bouge pas vraiment et le nombre de transactions se tasse. Et bien évidemment la situation est contrastée entre les pays et même à l’intérieur d’un pays.
Il y a consensus sur l’immobilier en Angleterre.
Et à Londres en particulier. La banque centrale Anglaise a même annoncé hier qu’elle allait remonter ses taux d’intérêt pour calmer l’euphorie. Aux États Unis, c’est moins clair. Les prix ont doublé dans de nombreuses villes depuis 2009 mais la situation est plus saine qu’en 2007. En Allemagne où le pourcentage de propriétaires et un des plus faibles d’Europe, la hausse est lente mais régulière mais on assistait le week end dernier à des manifestations à Berlin contre la hausse des prix
Et en France?
C’est la terre des contrastes selon un étude le Parisien/Orpi parue ce matin. Paris reste accrochée au sommet comme certaines grandes villes dynamiques alors que les petites villes et les zones rurales chutent. L’autre point commun entre les marchés financiers et le marché immobilier c’est finalement qu’on n’y voit pas très clair…
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